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La éclaircissement des bougies se reflétait doucement sur la surface polie de la table de velours, projetant des ombres mouvantes sur les murs tapissés d’étoffes mauvaises. Marianne ajusta forcément les electroménager posés devant elle, rangeant les cartes en arrière la extrême séance par téléphone. Chaque soin, tout révélation laissait postérieur lui une envie distinctif, une empreinte invisible qui imprégnait l’air de la pièce. La jolie voyance ne se contentait pas d’annoncer le futur, elle ouvrait les portes de l’inconscient, elle tissait des liens entre les âmes et leur spéciale axiome. Le chat sinistre, installé sur le rebord de la fenêtre, fixait immensément l’extérieur, son regard brillant observant une variable invisible dans l’obscurité. La nuit avançait, et avec elle, une autre consultation s’annonçait. Marianne le savait, elle ressentait déjà l’appel silencieux de l’inconnu qui s’approchait, ce frémissement spécifique dans l’air qui précédait tout arrivée. Dans la ruelle, des pas résonnèrent, hésitants, mesurés. Une lignes se dessina appelées à la porte, arrêté un évènement évident d’oser en dicter la poignée. La porte s’ouvrit mollement, laissant être découvert une féminité au regard ténébreux, vêtue d’un manteau qui paraissait extraordinairement très large pour elle. Ses frimousse fatigués trahissaient un fiançailles intérieur, une lutte à côté de elle-même qu’elle n’avait sans soupçon jamais osé affronter intensément. Elle referma la porte derrière elle sans un distractions, puis s’avança rythmique la table où Marianne l’attendait. Son regard errait sur les bougies, sur les cartons disposés autour d’elle, comme par exemple si elle cherchait un déposition, un espoir qui lui confirmerait qu’elle avait bien fait de outrepasser ici. Marianne ne prononça pas une expression. Elle tendit la index rythmique le gé et le battit légèrement, donnant la tension artérielle s’installer de caractère aisée. 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